La foret était plongé dans un silence anormal. La ou il y a quelques temps, les oiseaux chantaient et la terre meuble du sol était tapissés de verdure. Désormais, le gibier s’était enfui pour sa survie et sur le sol noir, ne restait que des bout de bois grillé. C’était la cause d’un incendie ravageur. Il s’était déclenché il y seulement quelque jour et la vie reprenait faiblement son cour. Ce spectacle était déprimant. La, ou on pouvait voir des fleurs de toutes les couleur au dessus de grandes fougères verdoyantes, tout avait brûlé et tout ce qui restait était des bâtons et des ronces brûlés. Il y avait aussi une grande clairière au sein de la foret. La barrière de ronce qui protégeait autrefois l’entrée n’existait plus, les tanières était détruite, le promontoire noirci. C’était méconnaissable. Avant, vivait ici un groupe de chat. Le Clan du Tonnerre. L’incendie les avaient chassé de chez eux, et ils avaient été obligé de s’installer sur un territoire ennemi. Chez le Clan de la Rivière. Nombreux était les morts et les blessés. Leur abri de fortune ne les protégeait qu’a peine et ils avaient terriblement faim. Les proies s’étaient enfuies ou étaient mortes. Celles qui étaient toujours la était rare et il fallait faire attention a ne pas en prendre trop. Sinon, il n’y aurait pas de descendance et donc il ne resterait malheureusement plus de nourriture. La tristesse et la faim se lisait dans chaque yeux des félins. Ils avaient tous hâtes de retrouvé une situation normale. Ils étaient tous affaiblis et ils avaient peur que les clans rivaux ne profite de cette faiblesse pour les anéantir encore plus. Ils étaient sur leur garde et chaque jour, en se réveillant, ils étaient plus fatigués. La vie reprendrait son cour, mais en attendant ils étaient obligés de vivre dans une peur et dans une faiblesse constante.

Un guerrier gris se releva de la tanière de fortune. C’était le début du matin et tout le monde était réveillé. Les félins commençaient déjà à faire leurs taches. Il songea avec amertume que dans leur ancien camp, la majorité devait sommeiller a cette heure ci. Rien ne saurait comme avant. La plus expérimentée guérisseuse était morte et la plus jeune avait prit la relève. Le mentor de Ciel d’Argent était morte ce qui le rendait encore plus attristée. Pépin de Raisin, un guerrier qui avait été assez banal jusque la c’était retrouvé au centre des attentions, car il était revenu juste après la catastrophe, sans égratignures, sain et sauf, en pleine forme et … rapportant un chaton. Pas un chaton qu’il avait trouvé, non. C’était son propre fils, du nom de Petit Rossignol. Il avait recoulé avec une femelle d’un autre clan, ou une chatte errant ou pire, domestique ! Étoile de Clarté l’avait généreusement accepté, seulement les félins ne lui avaient pas pardonné. Même le guerrier aux yeux bleus, né domestique, ne ferait pas ça ! Il avait quitté sa famille pour vivre une existence de guerrier, il respecterait pour toujours le code du guerrier. Il n’avait pas fait tout ça pour rien. Depuis chaton il rêvait de devenir un guerrier renommé et loyal envers son clan. Il était loyal mais renommé … Pas vraiment. Ce qui était assez dommage, il faisait tout pour servir son clan.

Il regarda autour de lui. Presque tous les chats étaient partit faire la paperasse presque habituel. En observant le tas de gibier, il se dit qu’il fallait le regarnir. Il n’y avait que deux maigres souris. S’apprêtant à partir en solo chasser, il se ravisa. Mieux valait qu’il emmène quelqu’un avec lui. Il se sentirait moins seul et triste et ils ramèneraient plus de proies. Seulement, a qui demandé ? Il hésitait. Puis il vit une fourrure noir et blanche. Il reconnu un apprenti du nom de Nuage du Panda. Il ne le connaissait que de vu. Il lui semblait que c’était un ami de Pomme d’Amour, une amie au guerrier aussi. Son histoire était assez surprenant. Elle était née dans le clan du Tonnerre, était allé chez les palmés, c’était faite bannie puis était revenu ici. C’était un bref résumé. Comme c’était son amie, il surveillait son intégration au clan et maintenant, tout le monde l’acceptait, ou presque. Il se dirigea vers lui et lui demanda :

« Bonjour Nuage du Panda. Si tu n’a rien à faire, peut tu venir faire une patrouille de chasse avec moi ? »