Quand je me réveilla, la plus part de mes camarades de clans dormaient paisiblement. Si nous n'avions pas nos blessure, on pourrait croire que le Clan de la Rivière n'avais pas eu à se battre contre c'est imbécile d'Ombreux ! Mais quand on a vécu cette guerre on le sais, que tout à changé ! Nous avons perdu tans de compagnons... Et surtout, Étoile de Cristal avait maintenant rejoins le Clan des Étoiles... Je chassa toute mes pensée et sortis de la tanière. Il fessait frais et un beau soleil se préparé, c'était agréable et peux fréquent en cette saison. Les guerriers déjà réveillé dans le camp avaient divers blessures. Balafre, morsure... Moi même j'étais sorti de la bataille avec une cicatrise sur mon œil droit. Que-es que j'aurais donner pour que cela n'arrive jamais ! Je voulais oublier la
bataille, il fallait que je me change les idées ! Je suis donc partie en forêt, me baladais et si j'ai de la
chance, revenir avec une proie ou deux…
Je cheminais seul, me dirigeant vers la frontière du Clan du Vent. Mes pattes se posaient délicatement sur le sol. Des feuilles morte craquelaient sous mes pas. En route, je découvris un campagnol qui grignoter une graine. J'adopte la position du chasseur et m'approche du petit rongeur à pas feutré. Quand je fut à une longueur de queue de souris, je sotie sur l'animal et, d'un coup de croc, l'acheva. Je continua un peu ma route jusqu'à se que je trouve un arbre ou j’enterai ma proie fraichement tué.
J’arrivai finalement à destination. Je me tenais à quelque longueur de queue de renard de la frontière. En parlant de renard, je sentis près d'un gros buisson une très forte odeur du fourbe animal roux. De ma patte, je poussa le buisson et y découvris une renardière. Je fis volte face, prête à aller prévenir mon clan mais une fois tournant le dos à la renardière je me figea. Mon sang se glaça et ma fourrure se hérissa, car devant moi, un animal deux fois plus grand que moi, au museau long et pointu, au pelage roux et à la queue touffue… Un renard me fixait de ses yeux ambré ! Il étais maigre et un filait de bave coulais de sa gueule. Je n'eus le temps de m'enfuir qu'à quelque mètre mais le renard me rattrapa et se jeta sur moi, croc découvert.
Ils me renversa au sol et mit plaqua. De mes pattes arrière, je lui assena une pluie de coup de griffes pour le repousser mais l'animal tint bon et de sa patte avant, me griffa la joue. Le sang perlais sur ma fourrure d'argent.
-Sale renard galeux, barre toi ! Crachais-je à cette cervelle de souris.
Puis je ne senti plus son poids sur moi, un éclaire de fourrure noir et blanche renversa l'affreuse boule de poils rousse. Je poussa un soupire de soulagement et, sans attendre me rua sur le renard pour lui rendre la monnaie de sa pièce ! Quand je fut au niveau du guerrier je souffla avec gratitude:
-Merci, l'inconnu.
[La couleur de Perly : #33CCFF]